L'épée de vérité 1 : la première leçon du sorcier
Terry Goodkind
Editeur: Bragelonne
Année d’édition : pour cette édition 2011
ISBN : 978-2266136617
Synopsis
Jusqu’à ce que Richard Cypher sauve cette belle inconnue des griffes de ses poursuivants, il vivait paisiblement dans la forêt. Elle ne consent à lui dire que son nom : Kahlan. Mais lui sait déjà, au premier regard, qu’il ne pourra plus la quitter. Car désormais, le danger rôde en Hartland. Des créatures monstrueuses suivent les pas de l’étrangère. Seul Zedd, son ami le vieil ermite, peut lui venir en aide… en bouleversant son destin. Richard devra porter l’Épée de Vérité et s’opposer aux forces de Darken Rahl, le mage dictateur. Ainsi commence une extraordinaire quête à travers les ténèbres. Au nom de l’amour. A n’importe quel prix.
Mon avis :
Richard Cypher est à la recherche de l’assassin de son père lorsqu’il aperçoit une jeune femme poursuivit par 4 hommes, n’écoutant que sa bravoure il lui vient tout de suite en aide, pour cela il n’hésitera pas à se battre avec le Quatuor, ce sera son premier combat pour la belle Kallhan, mais pas son dernier.
Car Richard qui jusque-là n’avait pratiquement jamais entendu parler de sorcellerie, ce retrouvera bien malgré lui à la tête d’une petite équipe, composée de ses meilleurs amis, afin de sauver le monde. Menacé par le redoutable Darken Rahl
Pour ce faire Zed son vieil ami et non moins grand sorcier, le déclare sourcier et lui confiera l’épée de vérité, cette dernière, déploie une surprenante magie chaque fois que ce dernier laisse libre court à sa colère.
Cela faisait bien longtemps que je n’avais pas mis aussi longtemps pour lire un livre qui m’intéressait. Car de l’intérêt il y en a. Pour ne pas dire un réel potentiel ! Depuis le seigneur des anneaux, qui remonte déjà bien loin (plus de 20 ans) je n’avais pas lu un livre de fantasy aussi passionnant. Voilà la raison pour laquelle je ne l’ai pas abandonnée.
Il ne m’a pas fallu une quinzaine de jour pour le lire parce qu’il ne me plaisait pas comme le soupçonnait ma famille, mais pour des raisons de surmenage. Contrairement à Tolkien ici on entre tout de suite dans l’histoire, les héros sont vite attachants.
L’histoire avec ses tenants et ses aboutissants, les guerres qui ont conduit le pays à se retrouver divisé tout cela nous est révélé au fur et à mesure. Au moment crucial. Donc aucune longueur. Enfin aucune, tout dépend dans quel sens on l’entend, et notre sensibilité, car le passage masochiste fût pour moi, le plus long, cependant je reconnais qu’il était ‘’ nécessaire ‘’ pour l’apprentissage de Richard face à la douleur, mais quand même. Je n’ai plus le livre sous les yeux, mais de mémoire je pense que son épreuve de soumission à durée pas loin de 100 page, avec des détails tellement précis, que c’était parfois juste insoutenable.
Car la force de cet opus (et sans aucun doute de cette saga), c’est la qualité du texte, fluide, et d’une précision telle que les images, apparaissent immédiatement, nous donnant le sentiment d’être aux côtés de nos héros.
Les héros justement parlons-en. Bien qu’ils soient intègre, Richard n’en ai pas moins imparfait, allant même jusqu’à mentir par omission, et bien qu’il finisse par être raide dingue de son ami Kallhan, il gardera un profond attachement à « Maîtresse Denna »
Kallhan elle-même dès le départ dissimule le plus important de son identité à Richard, de peur de perdre son amitié. N’hésitant ni à lui mentir, ni à le trahir.
Zed, est un vieux fou, le bout en train, mais là encore il met son ami en danger, en lui mentant, ou en taisant ses secrets.
En conclusion :
Un début de saga où tout y est l’amour, l’amitié, la trahison, la perversion sous toute ses formes, un premier tome bien passionnant, qui donne envie de poursuivre cette saga.
En un mot
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